Romands rock, Panorama des musiques actuelles en Suisse romande de 1960 à 2000 (Slatkine/FCMA)
En Suisse romande comme aux Etats-Unis, en Grande-Bretagne ou en France, il y a eu des «générations» Presley, Beatles, Dylan ou Woodstock. C’est à ces sources, nourries encore de blues et de country, que s’est abreuvé toute l’histoire du rock’n’roll. Et c’est de ces vagues sonores qu’ont découlé mille et un flux et reflux artistiques ici et ailleurs.
Pour ce Romands rock en forme d’esquisse historique des musiques actuelles en Suisse romande, c’est un long fleuve tranquille qu’il a fallu remonter à contre-courant. Durant cinquante ans d’une histoire singulière, éclatée et fragmentée territorialement, les musiques d’ici ont essaimé sans trop de schémas types. Les Suisses alémanique,
romande et italienne n’ont pas été frappées au même moment par la déferlante rock.
Des yé-yé aux musiques électroniques, du punk au hip-hop, de la chanson au hard rock, du folk au rock progressif via la pop, il n’est pourtant pas un style qui n’ait dignement essaimé en terre romande.
A travers les différents courants musicaux et leurs figures phares mais aussi par le biais des soubresauts politiques, sociaux, culturels et économiques, Romands rock retrace le développement de la scène rock des sixties à l’an 2000. Et s’arrête chemin faisant plus longuement aux côtés d’artistes qui ont marqué la Suisse du sceau de leur créativité, dont Pascal Auberson, Stephan Eicher, les Young Gods et Sens Unik.
Dans les médias, on peut retrouver "Romands rock" par là:
- 17 septembre, Option Musique/RTS
- 23 au 27 septembre, "Paradiso" sur La 1ère/RTS
- 18 octobre, Pl3in le poste! sur Couleur 3/RTS